Père riche Père pauvre pdf

Père riche, père pauvre est un livre que Robert Kiyosaki a co-écrit en en 1997.

Il s’agit d’une auto-biographie de Robert Kiyosaki. En effet, dans ce livre l’auteur utilise un ensemble d’exemples qu’il tire de son parcours afin de souligner l’importance de développer l’intelligence financière.

Il y explique des concepts qui permettent de construire une épargne qui conduit à une richesse et une indépendance financière.

Ceci passe, selon l’auteur, par l’investissement, l’immobilier, la création et l’acquisition d’entreprises.

Résumé de Père Riche Père Pauvre

Basé en grande partie sur l’enfance de Robert Kiyosaki, le livre présente comment l’éducation et les conseils de deux hommes (« papa riche » et « papa pauvre ») ont pu influencer les décisions clés de sa vie.

En effet, tous deux ont des attitudes très différentes vis-à-vis de l’argent, du travail ou du système scolaire, que Kiyosaki compare régulièrement.

Parmi les sujets abordés, il est possible de trouver :

  • L’histoire personnelle de Robert Kiyosaki : l’éducation qu’il a reçue pendant son enfance et sa carrière dans l’investissement du début de l’âge adulte à la fin des années 1990.
  • La différence entre un actif et un passif.
  • Ce que les riches enseignent à leurs enfants à propos de l’argent que les pauvres et la classe moyenne ne font pas.
  • L’idée que la résidence principale n’est pas un actif, mais un passif.
  • La valeur de l’intelligence financière et de l’éducation financière, qui, selon lui, ne figure pas au programme du système scolaire actuel.
  • Le rôle important que jouent les compétences commerciales, financières et l’expérience dans le succès financier. 
  • Prospérer dans une société capitaliste nécessite de cultiver à la fois ses capacités entrepreneuriales et son côté investisseur.
  • L’importance de l’investissement et de l’entrepreneuriat.

Robert Kiyosaki reprend le point de vue sur la fortune de son ancien mentor Dr. Buchminster Fuller, futurologue américain, selon qui la richesse peut être mesurée par le nombre de jours que le revenu issu des actifs peut permettre de vivre sans travailler, et l’indépendance financière atteinte lorsque le revenu mensuel issu de l’actif dépasse les dépenses mensuelles.